Better in the Shade
1. | Better in the Shade |
2. | Height of the Feeling |
3. | Ode To Vivian |
4. | Little Moments |
5. | Blue |
6. | La La La La La |
7. | Stay |
Patrick Watson est ravi d’annoncer que Better in the Shade, son septième album studio complet, sera lancé en version numérique le 22 avril via Secret City Records à travers le monde. Ce nouveau disque arrive après deux années prolifiques, malgré la pandémie. Patrick a lancé plusieurs chansons (A Mermaid in Lisbon, Que reste-t’il de nos amours, Lost with You) depuis la parution en 2019 de son album précédent, Wave. Plus récemment, Patrick a joué à Londres (R.-U.), au Barbican avec le BBC Orchestra. Il sera par ailleurs la tête d’affiche d’un concert au Poisson Rouge, à New York, le 31 mars. D’autres dates de concerts seront annoncées bientôt.
Selon Patrick, le nouvel album « est à propos de vivre dans un monde où l’on ne sait plus ce qui est réel. J’ai passé beaucoup de temps à lire afin d’améliorer mes paroles pour ce disque », raconte-t-il. « J’ai été fortement inspiré par Jesus’ Son de Denis Johnson, The Waves de Virginia Woolf et Fever Dream de Samanta Schweblin. Les paroles rassemblent de petites pensées qui traversaient mon esprit. Nous avons multiplié les efforts pour réinventer nos arrangements, en intégrant une plus grande dimension électronique », poursuit-il. « L’ajout de synthés modulaires a permis une approche plus chaleureuse, émouvante et fluide des sonorités électroniques, qui sonnent aussi acoustiques que le reste des instruments. Bref, j’ai refait mes classes au cours des deux dernières années afin d’apporter quelque chose de nouveau. Andrew des Barr Brothers joue de la batterie avec nous sur ce disque. C’était un plaisir de jouer avec un aussi talentueux musicien. »
« Nous avons eu la chance énorme qu’Elisabeth Perrault crée la portion visuelle de ce disque. C’est une jeune artiste hyper douée et je suis convaincu qu’on va la revoir souvent à l’avenir »
L’annonce du nouvel album est accompagnée du premier extrait « Height of the Feeling » qui, dans les mots de Patrick « aborde l’usage de l’intimité comme une boussole, lorsqu’on se sent désincarné. » Il confie : « J’ai parfois de la difficulté à garder les pieds sur terre sans affection. Je ne sais pas si c’est une bonne ou une mauvaise chose, mais c’est comme ça. J’ai eu la chance de coécrire cette chanson avec Ariel Engle de La Force. C’est très agréable de travailler avec elle. Nous avons enregistré beaucoup de versions improvisées avec un micro, en rigolant ensemble tout le long.