Motewolonuwok
1. | Skicinuwihkuk de Jeremy Dutcher |
2. | Pomawsuwinuwok Wonakiyawolotuwok |
3. | Take My Hand |
4. | Wolasweltomultine |
5. | tahcuwi Anelsultipon |
6. | Sakom |
7. | Ancestors Too Young |
8. | The Land That Held Them |
9. | There I Wander |
10. | Together We Emerge |
11. | Rise In Beauty |
« Personne d’autre ne fait de la musique de telle façon » – NPR Music
Dutcher a atteint les sommets du monde culturel canadien avec son premier album paru en 2018, Wolastoqiyik Lintuwakonawa, qui a remporté le Prix Polaris et un Prix JUNO. Une performance dans le cadre de NPR Tiny Desk et des collaborations avec Yo-Yo Ma, Buffy Sainte-Marie et Beverly Glenn Copeland ont suivi. Dutcher est de retour avec une exploration émouvante et évocatrice de l’identité autochtone contemporaine et de sa place au sein de cette dernière, livrant son œuvre la plus ambitieuse à ce jour.
L’album Motewolonuwok est d’abord inspiré d’un poème de l’écrivaine cherokee Qwo-li Driskill. « Des lourds débris de la perte, nous émergeons ensemble »; l’histoire singulière d’une personne bispirituelle qui nous a quittés trop tôt, et un appel à témoigner, célébrer et guérir. Jeremy chante en Wolastoqey — sa langue natale, considérée en voie de disparition — et continue de réinventer les chansons traditionnelles de son peuple provenant des berges de la rivière Wolastoq, comme sur son premier disque.
Sur son nouvel album, Dutcher écrit et chante par ailleurs pour la première fois en anglais. Une puissante invitation à la guérison collective et à la compréhension. « Une langue commune est un beau cadeau, pour des raisons complexes », explique Dutcher. Ces nouvelles chansons en anglais sont une façon de s’adresser directement au nouveau venu ou colonisateur, dans sa propre langue – une ligne de communication directe afin de transmettre les histoires de guérison, de résilience et d’émergence de sa communauté à toutes les personnes qui écoutent.