Retriever
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Le trio art-rock Braids est de retour avec une toute nouvelle chanson : une mini-épopée luxuriante et sinueuse intitulée « Retriever ». La formation montréalaise la décrit ainsi : « C’est une pièce aventureuse de 9 minutes, qui exprime des sentiments d’amour et d’amitiés simples, mais avec de riches arrangements et des textures expérimentales. » « C’est un retour aux sources pour nous », confient les musiciens, « une exploration de nouvelles sonorités, en collaboration, et avec un certain je-m’en-foutisme quant à la destination finale. Cette chanson est un voyage vers la liberté, l’euphorie et la légèreté dans un contexte d’intense isolement. Ce fut un bonheur pour nous d’effectuer ce périple, et nous sommes heureux de vous inviter à y plonger à votre tour. »
Braids est composé de Standell-Preston, Austin Tufts et Taylor Smith. Formé en 2007 en Alberta, le groupe a consolidé une réputation vieille d’une décennie en tant que musiciens ingénieux, s’imposant comme l’un des groupes art rock les plus acclamés au Canada. Deux de leurs albums se sont retrouvés sur la courte liste du Prix de musique Polaris et ils ont remporté un prix Juno en 2016 dans la catégorie Album alternatif de l’année. Avec la voix de Standell-Preston comme pilier de leur son, Braids tisse des éléments organiques et électroniques ensemble au sein d’un paysage lyrique qui est intimiste, explosif et émotionnellement immersif. Les albums du groupe ont reçu des éloges de Pitchfork, NPR, New York Times, T Magazine, NME, et The Guardian, parmi de nombreux autres. La formation a assuré la première partie ou effectué des tournées avec des artistes tels que Toro Y Moi, The Antlers, Wye Oak, Purity Ring, et Friendly Fires, en plus de participer à une foule de festivals à travers le monde, dont Glastonbury, Primavera, Osheaga, Hopscotch, et SXSW.
Le dernier album de Braids, Shadow Offering, co-réalisé par Chris Walla, est disponible dès maintenant via Secret City Records. Vaste et voluptueux, Shadow Offering nous guide à travers une fresque sonore et narrative. Avec une honnêteté déchirante et beaucoup de précision, le groupe nous fait traverser un monde nuancé et complexe, constitué de belles contradictions. Cette parution a été encensée par la critique à travers le monde. Aux États-Unis, The New York Times a dit : « Raphaelle Standell-Preston chante avec franchise et sincérité. », tandis que The Fader s’exclamait : « Le tout mène à un dernier tiers frénétique où le chaos et la confusion sont palpables. » (à propos de « Snow Angel »). Consequence of Sound a ajouté, à propos de « Young Buck » : « un plaisir rythmé; une lutte entre l’esprit et la matière, avec des synthés dynamiques qui penchent clairement du côté du corps. » Stereogum a affirmé que « [Shadow Offering] semble être la culmination de l’évolution de Braids depuis 10 ans. C’est brillant et confiant, un album qui se raffine et se surpasse constamment. » L’album a également été merveilleusement accueilli au Royaume-Uni. The Line of Best Fit lui a décerné la note de 9/10, le décrivant comme « Un quatrième disque glorieusement complexe […] Braids s’est raffiné et offre des paysages sonores matures, émotionnels et révélateurs », alors que Clash Magazine et Uncut accordaient un 8/10 à l’album. Le groupe a depuis lancé les chansons « Slayer Moon », « 2020 », et un remix de « Young Buck » par DJ Python qui ont reçu des éloges des fans comme des médias.