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C’est le recueil musical le plus profond et inventif qu’ait proposé Plants and Animals à ce jour. Onze pièces pleines de bonds en avant, de bateaux qui passent, d’eaux sombres et de ciels roses.
Plants and Animals est un trio montréalais dont les membres jouent ensemble depuis l’enfance. La formation, qui s’est fait connaître sur la scène internationale en 2008, fait aujourd’hui l’objet d’un véritable culte auprès d’un public varié, tant pour ses albums autoproduits que pour ses vibrantes prestations.
En 2013, après les nominations, les passages à d’importantes émissions radio et télé et les spectacles en première partie d’artistes reconnus; après les tournées en tête d’affiche en Amérique du Nord et en Europe, les membres du groupe décident de ralentir.
Et ralentir signifie pour eux faire de la musique comme avant. C’est le début d’un processus d’enregistrement intermittent qui s’étendra sur deux ans. Un moment de repos, comme en ont souvent besoin les groupes qui ont vu beaucoup de pays et passé peu de temps chez eux. Heureux de dormir dans leur propre lit, ils concevront donc un album à travers neuf saisons et tout ce que la vie peut apporter : naissances, morts, aubes grandioses, crépuscules bouleversants, et toutes les journées qui coulent entre les deux. Intitulé Waltzed in from the rumbling, leur nouveau disque est une danse des jours.
Faire de la musique comme avant signifie suivre un fil jusqu’au bout. Ils enregistrent tout ce qui leur passe par la tête et effectuent des changements impulsifs. Comme un flux de la conscience, les paroles adoptent la forme qu’il faut. Là où elles ont du charme, on laisse les erreurs, préférant révéler que dissimuler. Le chanteur y agit comme ingénieur de son, le guitariste, comme pianiste baroque, et le batteur sert d’œil intérieur-extérieur. Ils invitent leurs amis à chanter, à jouer de la basse et des claviers, des cordes et des cuivres. Un vieux guiro et un magnétoscope obsolète trouvés sur un trottoir sont tous deux enregistrés. D’un frigo vide, ils tirent des sons dignes d’une timbale. Ils capturent les commérages véhéments d’adolescentes à bord d’un autobus. Ils découvrent que le gars qui passe son temps dans la cuisine est en fait un magicien de la cabasa. Tout trouve sa place. Ils prennent la voie de la grande production. Ils baissent les stores et dévoilent leur cœur, leurs os.
Ça rappelle la fois où ils ont tous lâché leurs boulots en même temps pour se rassembler dans un appartement bancal de l’avenue du Parc et créer leur premier album.
« Ça ressemblait plus à un studio d’artiste qu’à une salle d’enregistrement, explique Warren Spicer. Le bordel, les bouts de chansons partout… On avait une énorme toile, et on n’arrêtait pas de remplir les coins, d’effacer, de repeindre des bouts, de reculer pour contempler l’ensemble, voir ce qu’on avait. »
Les influences sont vastes et diverses : le soul brisé de Van Morrison, la géométrie oblique de J Dilla, le funk sombre de Gainsbourg, le feu du John Coltrane Quartet, la synesthésie de Messiaen, les bizarreries d’Angelo Badalamenti. Du Plants and Animals grand ouvert avec de l’espace pour bouger.
« On voulait pousser nos chansons dans des directions moins évidentes pour garder l’intérêt, raconte Matthew Woodley. Nous surprendre entre nous, et imaginer que ceux qui nous écouteraient apprécieraient tout autant. Mais dès qu’on sentait que l’intellect prenait le pas sur l’émotion, on lâchait tout et on passait à autre chose. »
« On s’est poussés les uns les autres et on s’est écoutés comme jamais auparavant, dit Nic Basque. C’était amusant, et beaucoup plus facile que par le passé. Travailler, tout simplement – c’est comme ça que les gens développent leur langage, peu importe ce qu’ils font. C’est ce qu’on a fait. »
C’est le recueil musical le plus profond et inventif qu’ait proposé Plants and Animals à ce jour. Onze pièces pleines de bonds en avant, de bateaux qui passent, d’eaux sombres et de ciels roses. Waltzed in from the Rumbling sort le 29 Avril prochain sur Secret City Records.
They have been nominated for big awards. They have appeared on major radio and television programs. They have opened for household names and headlined many tours of their own around North America and Europe. In 2013, they decided to slow down.
By slow down, they meant make music the way they used to. It was the beginning of what would be an on-and-off recording process stretched out over two years. It was a time of rest, as the story often goes, for a band that had seen plenty of touring and not enough home. They slept in their own beds and made their new album through nine seasons and the thick of life. Through births and deaths, most notably—magnificent sunrises, shattering sunsets and the days between. Their new LP is called Waltzed in from the Rumbling. It is a dance of days.
By make music the way they used to, they meant to follow threads to their frayed ends. They recorded any ideas that popped up and edited impulsively. Lyrics were often streams of consciousness, bent into shape. They left mistakes in place where they had their charms, looking to expose rather than conceal. The lead singer doubled as engineer, the lead guitar player as baroque pianist, the drummer as inside-outside eye. They called in friends to sing, to play bass, keys, strings and horns. They found an antique guiro next to an obsolete VCR on the curbside and recorded both. They made an empty fridge sound like a timpani drum. They covertly recorded girls’ brash gossip on a city bus. They discovered the guy who always hung around in the kitchen was a cabasa wizard. It all found a place. They took the path of big production. They pulled down the curtains and showed their hearts and bones.
It felt like the time that they quit their day jobs, holed up in a crooked apartment on Parc Avenue and made their first record.
« It was more like an art studio than a recording studio, » says Warren Spicer. « A mess, pieces of songs all over the place. We had this big canvas and were constantly filling in corners here, erasing there, repainting that part, standing back and looking at the whole picture to see what we had. »
The influences are far and wide: the broken soul of Van Morrison; the off-kilter geometry of J Dilla; the dark, French funk of Serge Gainsbourg; the fire of John Coltrane’s quartet; Messiaen’s synaesthesia; the quirk of Angelo Badalamenti. It sounds like P&A, wide open with room to move.
« We wanted to push the songs in less obvious directions to keep it interesting, » says Matthew Woodley. « To keep each other on our toes but also imagining that people listening to it would appreciate the same. But if it ever felt like cleverness was taking precedence over feeling, we’d drop what we were doing and move onto something else. »
« We pushed each other and we listened to each other more than ever before,” says Nic Basque. « It was fun and much easier than in the past. You just work—that’s how people develop their language in whatever they do. That’s what we did. »
This is Plants and Animals’ most soulful and inventive collection of music yet. Eleven soundtracks for leaps taken, ships sailed, dark water and pink skies. Waltzed in from the Rumbling comes out on Secret City Records on April 29, 2016.
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